Voilà donc un nouveau « mur » après celui de la Hongrie qui va déplacer les quelques migrants concernés, lequel déplacement conduira, parions dessus, à la construction d’un nouveau mur ailleurs qui, à son tour, va déplacer…
Jusqu’à ce que ces murs n’en fassent plus qu’un qui encerclera ceux qui l’auront érigé au moment où le « basculement de la richesse » les poussera à vouloir le passer à leur tour dans l’autre sens.
Il n’est pas acquis que les migrants qu’on aura essayé de repousser ouvriront ce mur le jour où nous aurons besoin de sortir de chez nous.